Il flotte sur les clichés du photographe amateur Alphonse Guillot le doux parfum des souvenirs. Depuis l’acquisition de son premier appareil photographique en 1896, il est le reporter assidu de la vie familiale : le mariage du cousin Josi, les escapades à vélo avec Lisette, les jeux du petit voisin, les fêtes déguisées, etc. Tout est prétexte à prendre la pose.
Alphonse Guillot n’est jamais venu à Trévarez, pourtant ses images exposées en grand format dans les jardins racontent, au delà de l’histoire intime de sa famille, celle plus universelle d’une société de la Belle Époque qui a vu se bâtir le château de Trévarez.
Depuis 2004, le fonds photographique d’Alphonse Guillot est conservé aux archives municipales de Lorient.
Il flotte sur les clichés du photographe amateur Alphonse Guillot le doux parfum des souvenirs. Depuis l’acquisition de son premier appareil photographique en 1896, il est le reporter assidu de la vie familiale : le mariage du cousin Josi, les escapades à vélo avec Lisette, les jeux du petit voisin, les fêtes déguisées, etc. Tout est prétexte à prendre la pose.Alphonse Guillot n’est jamais venu à Trévarez, pourtant ses images exposées en grand format dans les jardins racontent, au delà de l’histoire intime de sa famille, celle plus universelle d’une société de la Belle Époque qui a vu se bâtir le château de Trévarez.
Depuis 2004, le fonds photographique d’Alphonse Guillot est conservé aux archives municipales de Lorient.