Découvrez le nouveau visage de l'exposition « Bâtir un rêve », qui dévoile de manière interactive l’histoire du domaine, de son concepteur James de Kerjegu et donne à voir l'agencement des espaces tels qu'ils ont été conçus.
Le château de Trévarez est construit au tournant des 19e et 20e siècles pour James de Kerjégu et sa famille. L’Architecte en vue de l’époque – et intime des propriétaires – Walter-André Destailleur conçoit une demeure luxueuse et confortable pour recevoir amis et famille le temps de séjours organisés autour de parties de chasse et de promenades à cheval.
Bombardé pendant la seconde Guerre Mondiale, le château est délaissé pendant plus d’une trentaine d’années. Dans les années 1990, la toiture de la partie bombardée est restaurée.
Depuis 2011 des efforts importants sont faits pour développer la présentation du site, des espaces de plus en plus nombreux sont désormais accessibles. Pour donner toute sa cohérence à la visite l’exposition « Bâtir un rêve » a été revue et enrichie.
Toujours très abîmé, l’intérieur du château se visite partiellement. Au fil des salles, les souvenirs de la vie insouciante et privilégiée d’une infime partie de la société de la Belle Époque – dont faisait partie James de Kerjégu - est mise en scène pour redonner vie au château.
La scénographie s’emploie à restituer l’ambiance feutrée de la bibliothèque ou plus prestigieuse de la salle à manger. Le contexte historique de la Belle époque est évoqué en images ou par des extraits de films, les conversations s’animent autour de la table de la salle à manger dressée pour le dîner, la silhouette d’un domestique traverse le couloir, des notes de musiques s’échappent du grand salon…
Les atmosphères sont recréées pour mieux vivre l’expérience d’un invité de James de Kerjegu en ce tout début de 20e siècle. L’ambiance particulière qui se dégage toujours de ce château nous permet d’évoquer le contexte historique de la construction de ce domaine. Le château ainsi que l’ensemble des aménagements réalisés dans ce parc à la Belle Epoque siècle témoignent du luxe inouï déployé pour le bon plaisir d’une infime part de la population de l’époque, cependant tout cela a disparu en moins de cent ans….
Le château de Trévarez est construit au tournant des 19e et 20e siècles pour James de Kerjégu et sa famille. L’Architecte en vue de l’époque – et intime des propriétaires – Walter-André Destailleur conçoit une demeure luxueuse et confortable pour recevoir amis et famille le temps de séjours organisés autour de parties de chasse et de promenades à cheval.
Bombardé pendant la seconde Guerre Mondiale, le château est délaissé pendant plus d’une trentaine d’années. Dans les années 1990, la toiture de la partie bombardée est restaurée.
Depuis 2011 des efforts importants sont faits pour développer la présentation du site, des espaces de plus en plus nombreux sont désormais accessibles. Pour donner toute sa cohérence à la visite l’exposition, « Bâtir un rêve » a été revue et enrichie.
Toujours très abîmé, l’intérieur du château se visite partiellement. Au fil des salles, les souvenirs de la vie insouciante et privilégiée d’une infime partie de la société de la Belle Époque – dont faisait partie James de Kerjégu - est mise en scène pour redonner vie au château.
La scénographie s’emploie à restituer l’ambiance feutrée de la bibliothèque ou plus prestigieuse de la salle à manger. Le contexte historique de la Belle époque est évoqué en images ou par des extraits de films, les conversations s’animent autour de la table de la salle à manger dressée pour le dîner, la silhouette d’un domestique traverse le couloir, des notes de musiques s’échappent du grand salon…
Les atmosphères sont recréées pour mieux vivre l’expérience d’un invité de James de Kerjegu en ce tout début de 20e siècle. L’ambiance particulière qui se dégage toujours de ce château nous permet d’évoquer le contexte historique de la construction de ce domaine. Le château ainsi que l’ensemble des aménagements réalisés dans ce parc à la Belle Epoque témoignent du luxe inouï déployé pour le bon plaisir d’une infime part de la population de l’époque, cependant tout cela a disparu en moins de cent ans….