LES BRÈVES
Dimanche 22 novembre l'Abbaye de Daoulas conviait son voisinage pour une découverte en avant-première de la saison 2016, actuellement en cours de préparation. Sous une météo clémente, près de 300 personnes ont pu assister à la présentation du futur jardin des arbres médicinaux en cours d’aménagement ainsi qu'à la présentation de la thématique de l'exposition 2016 sur la magie et la sorcellerie.
De manière unanime cette journée fut une sympathique bulle d'échanges et de convivialité à renouveler.
Dimanche 22 novembre, pour la première fois, l'Abbaye de Daoulas conviait son voisinage pour une découverte en avant-première de la saison 2016, actuellement en cours de préparation. Sous une météo clémente, près de 300 personnes ont pu assister à la présentation du futur jardin des arbres médicinaux en cours d’aménagement ainsi qu'à la présentation de la thématique de l'exposition 2016 sur la magie et la sorcellerie. De manière unanime cette journée fut une sympathique bulle d'échanges et de convivialité à renouveler.
Concours Rêve de Noël, les lauréats sont…
Habitués du concours, passionnés, doux rêveurs, poètes, bricoleurs ont tous rivalisé de bonnes idées, d’invention, d’ingéniosité et de talents, pour concourir au fameux et très attendu concours de « Noël à Trévarez », qui avait pour thème cette année « Rêve de Noël ». C’est ainsi que créées seul, en famille ou en collectivité, pas moins 89 oeuvres, réparties en 6 catégories ont été appréciées le 20 novembre matin, quelques heures avant l’inauguration, par un jury intransigeant ! La bonne nouvelle c’est que nos 1329 artistes ont tous gagné le plaisir de voir leur création exposée, cette année, dans… le château ! Venez vous aussi voter pour votre coup de cœur, un prix du public sera décerné. Les lauréats sont…
Habitués du concours, passionnés, doux rêveurs, poètes, bricoleurs ont tous rivalisé de bonnes idées, d’invention, d’ingéniosité et de talents, pour concourir au fameux et très attendu concours de « Noël à Trévarez », qui avait pour thème cette année « Rêve de Noël ». C’est ainsi que créées seul, en famille ou en collectivité, pas moins de 89 oeuvres, réparties en 6 catégories ont été appréciées le 20 novembre matin, quelques heures avant l’inauguration, par un jury intransigeant ! La bonne nouvelle c’est que nos 1329 artistes ont tous gagné le plaisir de voir leur création exposée, cette année, dans… le château ! Venez vous aussi voter pour votre coup de cœur, un prix du public sera décerné. Découvrez les lauréats en images.
Chemins du patrimoine en Finistère et la radio Chérie FM s’associent et vous font gagner des entrées à l’événement « Noël à Trévarez ». Pluie d’images, décors oniriques, créations multiples et poésie d’un parc et d’un château illuminés, soyez à l’écoute entre midi et 16h et gagnez votre sésame pour un moment magique ! Chérie FM Brest : 99.7 - Chérie FM Quimper : 102.6 - Chérie FM Côtes d'Armor : 100.2
Le 19 novembre dernier le Manoir de Kernault accueillait une journée de formation destinée aux gestionnaires des espaces naturels sensibles des Conseils départementaux du Finistère et du Morbihan.
Cette journée, animée par le GMB (Groupe Mammalogique Breton) avait pour thème « le campagnol amphibie et la prise en compte de cette espèce dans la Gestion des Espaces Naturels Sensibles ».
Le campagnol amphibie (Arvicola sapidus), petit rongeur au pelage brun foncé, vit sur les rives des cours d’eau lents et des étangs. Cette espèce, dont la répartition mondiale se réduit à la péninsule ibérique et à l’ouest de la France, est en régression alarmante. Après avoir observé sa présence à Kernault, l’équipe, en lien avec le GMB a mis en place des mesures de gestion pour tenter de préserver l’habitat et par extension, le campagnol dans les zones humides du parc.
La collaboration entre Kernault et le GMB remonte à plusieurs années. Après avoir mis en place un plan de gestion différenciée, le Conseil départemental du Finistère a missionné l’association de naturalistes pour évaluer l’impact de cette gestion sur le parc et notamment sur les zones pour lesquelles des objectifs écologiques avaient été définis.
Aujourd’hui , grâce à la mise en place de ce protocole, des indices concrets témoignent de la présence de ce petit animal (crottiers, réfectoires, nids, coulées, trous dans les berges…) et font de kernault un site « pilote » dans la prise en compte de cette espèce dans un plan de gestion.
Le 19 novembre dernier, le Manoir de Kernault accueillait une journée de formation destinée aux gestionnaires des espaces naturels sensibles des Conseils départementaux du Finistère et du Morbihan. Cette journée, animée par le GMB (Groupe Mammalogique Breton) avait pour thème « Le campagnol amphibie et la prise en compte de cette espèce dans la Gestion des Espaces Naturels Sensibles ». Ce petit rongeur au pelage brun foncé, vit sur les rives des cours d’eau lents et des étangs. Cette espèce, dont la répartition mondiale se réduit à la péninsule ibérique et à l’ouest de la France, est en régression alarmante. Après avoir observé sa présence dans les zones humides de Kernault, l’équipe, a mis en place des mesures de gestion pour tenter de préserver l'habitat du campagnol. La collaboration entre Kernault et le GMB remonte à plusieurs années. Après avoir mis en place un plan de gestion différenciée, le Conseil départemental du Finistère a missionné l’association de naturalistes pour évaluer l’impact de cette gestion sur le parc. Aujourd’hui, grâce à la mise en place de ce protocole, des indices concrets témoignent de la présence de ce petit animal (crottiers, réfectoires, nids, coulées, trous dans les berges…) et font de Kernault un site « pilote » dans la prise en compte de cette espèce dans un plan de gestion. À découvrir en images
TRAVAUX DE TITAN SUR LES REMPARTS DU CHÂTEAU DE KERJEAN
Depuis novembre des travaux de restauration ont débuté sur le rempart ouest et la tour nord-ouest.
Le rempart, érigé pour permettre une défense efficace plus particulièrement contre les tirs de canon, technique très utilisée à la renaissance, a la particularité d’être constitué de deux murs de parements emplis de terre. Aujourd’hui l’ouvrage montre des signes de fragilité dû à ce mode de construction : la terre gorgée d’eau opère une poussée contre les murs qui pourraient à terme s’effondrer.
Ces travaux qui dureront 19 mois, ont été initiés par la Direction régionale des affaires culturelles, ils font suite à une première tranche de restauration effectuée sur les côtés sud et est, réalisée en 1995 et 2007.
On espère que ce chantier révèle quelques belles surprises, peut-être la découverte des deux casemates (pièces voutées) dont on voit les traces à l’extérieur, et qui auraient été bouchées au 18e siècle. En attendant le rempart est assailli par un échafaudage colossal de 45 m de long !
Depuis novembre des travaux de restauration ont débuté sur le rempart ouest et la tour nord-ouest du Château. Le rempart, érigé pour permettre une défense efficace plus particulièrement contre les tirs de canon, technique très utilisée à la renaissance, a la particularité d’être constitué de deux murs de parements emplis de terre. Aujourd’hui l’ouvrage montre des signes de fragilité dus à ce mode de construction : la terre gorgée d’eau opère une poussée contre les murs qui pourraient à terme s’effondrer. Ces travaux qui dureront 19 mois, ont été initiés par la Direction régionale des affaires culturelles, ils font suite à une première tranche de restauration effectuée sur les côtés sud et est, réalisée en 1995 et 2007. On espère que ce chantier révèle quelques belles surprises, peut-être la découverte des deux casemates (pièces voutées) dont on voit les traces à l’extérieur, et qui auraient été bouchées au 18e siècle. En attendant, le rempart est assailli par un échafaudage colossal de 45 m de long !
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